Très en retard sur Motobécane, Peugeot n'adopte l'embrayage centrifuge que fin 1957, le variateur qu'au salon 1960. Le premier cyclo du Lion à bénéficier de ces deux énormes améliorations sera le BBV suivi de peu par le flamboyant BB 104. Mais il faudra encore attendre le salon 1962 pour que le Lion condescende à abandonner son assez médiocre embrayage automatique Centri au profit de l'élégante solution Duomatic, conçue... chez Terrot à Dijon par l'ingénieur Padovani. Dès lors, le retard technique sur Motobécane est comblé et un cyclo comme le VCT de 1963 est réellement efficace. Mais il faudra encore attendre plusieurs années pour que les chiffres de production augmentent vraiment. Ce ne fut chose faite qu'en 1972 avec le lancement du 103 qui recevait un nouveau moteur à admission par clapets : en dix ans, la production de cyclos Peugeot était passée d'un peu plus de 150.000 à 400.000 !
Du coup, Peugeot s'autorisa une petite folie en lançant fin 1972 le GT10 à petites roues, suivant en cela une mode lancée par les japonais (Honda Monkey et Dax, Yamaha Chappy, etc) mais aussi par Motobécane avec son Mobyx X1. Équipé comme les 103 et 104 de l'excellent moteur à clapets, le GT10 ne fut pas le plus mal perçu de la joyeuse bande des cyclos à petites roues.
The 49.9cc GT10 appeared in three versions in the catalogue for the 1973 season - these included the basic GT10, the GT10C with turn indicators, and the Formula 3 with a 3-speed transmission.
Peugeot adopted the centrifugal clutch at the end of 1957, and introduced the cyclo variator at the Paris Salon of 1960. The first Peugeot cyclomoteur to benefit from these two huge improvements was the BBV, followed shortly by the rather flamboyant BB 104. Then at the 1962 Salon displayed the replacement for the Centri automatic clutch with the Duomatic, an elegant solution designed at Terrot in Dijon by the engineer Padovani. Over the next several years the production figures increased and in 1972 the 103 was launched with a new engine. Over the past ten years the production of Peugeot lightweights had increased from just over 150,000 to 400,000.
As a result, Peugeot allowed itself a little folly by presenting, at the end of 1972, the small-wheeled GT10, following the trend set by the Japanese with their Honda Monkey, Dax, and Yamaha Chappy, and also the Motobécane Mobyx X1. Fitted with the excellent 4T engine from the the 103 and 104, the GT10 joined the happy band of small wheels cyclos.
Source: Thomas Bersy
French text is from a plaque at the Bicentenaire Peugeot, Paris Rétromobile 2010.
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